Ramid, ministre de la justice, a ordonné l’ouverture d’une enquête sur l’affaire des escroqueries de biens immobiliers appartenant aux étranger à Casablanca, suite aux révélations des journaux Al Oussboue et Al Itihad Al Ichtiraki datant respectivement du 27 février et du 11 mars.
Le numéro de ce vendredi de Al Ahdath Al Maghribia évoque les instructions qui auraient été données aux politiques et au juge chargé de cette affaire, comme principal motif de la décision de Ramid.
Assabah s’interroge sur le pourquoi de la réaction tardive de Ramid, les éléments de cette affaire pourtant dévoilés au grand jour dès le 27 février.
Assabah ajoute que ladite affaire pourrait être l’arbre qui cache la forêt, le journal cite ici des cas pouvant exister à Fès, Rabat ou Marrakech.
Annass, a pour sa part, relevé les propos de l’avocat Taher Jalal sur le silence du vice-président du conseil suprême sur cette affaire, de quoi pointer du doigt la crédibilité de la justice.